jeudi, mars 28, 2024

Colloque Parentalité

 

Le Comité parentalité organise prochainement une série de webinaires sur le thème : « Comment assurer l’effectivité du droit à la vie intime, affective et sexuelle et du droit à la parentalité ». 

 

Ce colloque se déroulera sur 4 jours, sous forme de webinaires, du 14 au 17 février de 16 h à 19 h. 

 

Avec les interventions de :
• Sophie CLUZEL, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée des Personnes handicapées
• Elisabeth MORENO, Ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes
• Adrien TAQUET, Secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles auprès du Ministre des Solidarité et de la Santé
• Jérémie BOROY, Président du Conseil National Consultatif des Personnes Handicapées (CNCPH)
• Céline POULET, Secrétaire général du Comité Interministériel du Handicap
• Pascale RIBES, Présidente d’APF France handicap
• Agnès BOURDON-BUSIN, Julia TABATH, Christophe BAZILE, Porte-paroles du comité Parentalité des personnes en situation de handicap

 

Vous trouverez en pièces jointes : 

- le programme détaillé

- l'invitation (avec le lien pour l'inscription) 

Congrès de l’Unapei

 

 

DU 9 JUIN 2022 AU 11 JUIN 2022

Congrès de l’Unapei : 'La qualité de vie, moteur de l’innovation sociale' les 9, 10, 11 juin à Montpellier

Rapport d'activité et d'orientation UNAPEI


 

Ce document adopté lors de l’assemblée générale de l’Unapei du 4 juin 2021 retrace les actions et activités entre mai 2020 et juin 2021. Marquée en grade partie  par la crise sanitaire, cette période a aussi permit des avancées pour les personnes en situation de handicap grâce à un réseau toujours plus Unis et solidaire.  Un élan à poursuivre dans le cadre des orientations stratégiques de l’Unapei, éléments qui constituent la seconde partie de ce rapport à télécharger.

Le COPIL COVID 19

Bonjour à tous,

 

Durant cette période de crise sanitaire, un Comité de pilotage « COVID 19 » a été constitué afin de mutualiser les moyens du GCMS 3S pour répondre aux mieux aux besoins et problématiques de chaque établissement.

 

 

 

A savoir que la situation évolue chaque jour.

Ainsi, un mail de l’ARS nous a informé, hier soir, de l’envoie pour le GCMS 3S d’environ 4.000 masques de protection pour les IME et ESAT. Le pole hébergement ne faisant pas parti pour le moment de la liste établie par l’ARS pour l’octroi de ces masques, les pôles enfance et insertion par le travail vont redéployer une partie de leur dotation sur les établissements du pole hébergement qui en ont actuellement le plus grand besoin.

 

 

Bien cordialement

 

 

 

CORONAVIRUS

Le service médico-social en souffrance : l'Unapei appelle à l'aide

Le 27/03/2020

Décideurs politiques, institutions publiques, militants, donateurs. 

Nous avons tous un rôle à jouer

Paris, le 27 mars 2020. La crise sanitaire s’accélère en France. Le Covid-19 frappe de plein fouet toutes les catégories de population sans épargner les personnes déjà en situation de fragilité et de vulnérabilité. Depuis plusieurs jours, les associations du mouvement Unapei sont confrontées aux premiers décès et à un nombre grandissant de cas graves de personnes en situation de handicap. Les professionnels du médico-social, les bénévoles mais aussi les familles qui accompagnent au quotidien les personnes en situation de handicap se retrouvent, aujourd’hui, seuls, très souvent désemparés, face à une situation de plus en plus dramatique. Plus que jamais mobilisés, les professionnels du médico-social doivent gérer l’ingérable bien au-delà de leurs métiers d’accompagnants. L’Unapei demande, sans délai, de l’aide, du soutien, du matériel de protection, des dons pour qu’aucune personne ne soit laissée de côté.

 

  1. Nous avons besoin de matériel de protection

Aujourd’hui, les professionnels du mouvement Unapei continuent leurs accompagnements auprès des personnes en situation de handicap, qu’elles soient confinées au sein de structures ou à leurs domiciles. En manque de reconnaissance, le secteur médico-social fait face à un nombre cruellement insuffisant de matériel de protection.

« Nos équipes, nos professionnels, les personnes que nous accompagnons, ont besoin de façon urgente de masques de protection, de gels hydroalcooliques, de blouses et de surblouses en quantité suffisante, en respect des règles énoncées par le Gouvernement, et ce pendant toute la durée de l’épidémie » demande expressément Luc Gateau, président de l’Unapei.

Par ailleurs, les 1 500 foyers de vie et d’hébergement gérés par le mouvement Unapei, et relevant des Conseils départementaux, ne sont pas répertoriés sur les listes des Agences régionales de santé. Ces foyers internalisés ne sont donc pas approvisionnés en matériel de protection. Comment éviter la propagation du virus au sein des établissements si les principes de précaution ne peuvent pas être respectés ?

Jusqu’à présent, les associations membres de l’Unapei ont organisé des répartitions de matériels en fonction des besoins sur les territoires. Mais, aujourd’hui, le manque de matériel devient trop criant. Conséquences : un grand nombre de professionnels gèrent des situations de plus en plus difficiles, d’autres ont dû être mis en arrêt à la suite d’une contamination au Covid-19 et de nombreux parents, par peur de la contamination, refusent l’accès de professionnels au domicile.

  1. Nous plaidons pour un accès des personnes handicapées aux soins palliatifs

Alors que le nombre de cas augmente et que les décès surviennent dans les associations membres de l’Unapei, en particulier celles basées dans le Grand-Est, les Hauts-de-France et la Bourgogne-Franche-Comté, les professionnels du médico-social sont dans l’obligation de s’improviser professionnels de soins palliatifs, avec plus ou moins de soutien à distance des équipes mobiles de soins palliatifs. 

L’Unapei demande sans délais un renforcement des équipes de soins palliatifs dans les établissements et services médico-sociaux et du matériel adéquat, ainsi que l’adoption d’un protocole de délégation d’accompagnement de ces soins par des personnels non soignants dans les établissements et services.

« Les personnes en situation de handicap sont de toute évidence des victimes annoncées du Covid-19. Dans cet état d’urgence sanitaire, nous demandons à l’Etat de prendre, sans attendre, les mesures nécessaires pour que les personnes en situation de handicap aient un accès effectif aux soins palliatifs. L’Unapei refusera toute situation d’injustice, d’exclusion, d’abandon à l’égard des personnes en situation de handicap ou de leurs accompagnants »souligne Luc Gateau.    

  1. Nous demandons une action coordonnée sur les territoires

L’Unapei relève, partout en France, des problématiques de coordination entre les services de l’Etat. Il est essentiel que les personnes handicapées, leurs familles et les professionnels du médico-social soient réellement identifiées comme prioritaires partout en France et par tous les acteurs. 

Ainsi, les associations constatent de nombreuses amendes et même des gardes-à-vue pour des personnes n’ayant pas accès à la lecture et ne possédant pas d’attestation adaptée. Aussi, nous demandons qu’un message soit adressé aux agents en charge de ces contrôles afin de les inviter à accepter la présentation des supports d’attestation en FALC (facile à lire et à comprendre), mais également à faire preuve de tolérance, dans la mesure du possible, envers ces publics spécifiques et vulnérables.

  1. Nous appelons à la générosité du public

Le Mouvement Unapei, reconnu d’utilité publique, unit ses forces pour faire face à la situation dramatique subie par les personnes en situation de handicap, les familles et les professionnels du secteur médico-social. Pour répondre à cette crise d’urgence absolue, l’Unapei a besoin de dons pour continuer à accompagner au mieux les personnes en situation de handicap, à la hauteur de leurs besoins.

Les fonds collectés seront directement affectés au Fonds d’urgence Covid-19 de l’Unapei, pour l’achat immédiat de matériel de protection et le financement de solutions d’accompagnement d’urgence.

L’Unapei a besoin de vous pour agir au plus vite ! Faites un don sur www.unapei.org

 

Pour toute question liée au Covid-19 :

–          Un accueil téléphonique par association : retrouvez toutes les coordonnées sur www.unapei.org, onglet « trouver une association près de chez vous »

–          Une adresse mail dédiée : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

Je m'inscris, je vote !

Je m'inscris, je vote !

 

 

Nous attendions cette bonne nouvelle avec impatience…Elle est enfin arrivée !

 

A la suite de l’adoption de la loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice, l’abrogation de l’article L.5 du code électoral qui permettait au juge de retirer le droit de vote aux personnes sous tutelle est entrée en vigueur lundi 25 mars 2019.


Désormais, les personnes handicapées intellectuelles sont reconnues comme des citoyens à part entière. C’est une grande victoire.


Les élections européennes du 26 mai prochain sont les premières à laquelle vont pouvoir participer les personnes jusqu’ici privées du droit de vote.

 

En pratique :

   Les personnes handicapées intellectuelles qui étaient privées du droit de vote peuvent dès à présent s’inscrire sur les listes électorales

   Elles bénéficient d’un délai allongé pour faire cette inscription, jusqu’au 16 mai 2019 (en application de l’article L.30 5° du code électoral)


Si ces personnes ne peuvent pas se rendre au bureau de vote le 26 mai, elles peuvent donner une procuration à la personne de leur choix à l’exception :

   Du mandataire judiciaire à leur protection;

   Des personnes physiques propriétaires, gestionnaires, administrateurs, employés, bénévoles ou volontaires de l’établissement ou du service médico-social, de l’établissement de santé ou du service à domicile qui les accompagnent ou les prennent en charge.


Fiers et heureux de cette grande avancée, nous devons cependant poursuivre le combat. Sans l’information et la sensibilisation de tous les acteurs du processus électoral, et notamment des mairies, le droit de vote risque de ne pas être effectif pour tout le monde. C’est pourquoi nous vous invitons à nous faire remonter dès à présent et jusqu’au 26 mai inclus toutes les difficultés rencontrées par les personnes handicapées intellectuelles pour participer aux élections européennes (difficultés pour s’inscrire sur les listes ou pour faire une procuration, difficultés rencontrées le jour du vote, etc.), à l’adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Deux jours de congés supplémentaires par an si votre enfant est handicapé

Deux jours de congés supplémentaires par an si votre enfant est handicapé

– Les salariés ont droit à deux jours de congés supplémentaires par enfant à charge. Cela sans que le cumul du nombre des jours de congés supplémentaires et des jours de congé annuel ne puisse excéder trente jours ouvrables. Est considéré comme enfant à charge l’enfant vivant au foyer âgé de moins de 15 ans et tout enfant, sans condition d’âge, dès lors qu’il vit au foyer et qu’il est en situation de handicap (article L.3141-8). Jusqu’alors, cette disposition ne concernait que les femmes salariées ayant un enfant de moins de 15 ans.

– Les salariés justifiant de la présence, au sein du foyer, d’un enfant ou d’un adulte handicapé ou d’une personne âgée en perte d’autonomie, bénéficient d’une dérogation à la règle fixant la durée maximale des congés pouvant être pris en une seule fois à vingt-quatre jours ouvrables (article L 3141-17).

– Un accord d’entreprise ou d’établissement ou, à défaut, une convention ou un accord de branche peut majorer la durée du congé en raison de l’âge, de l’ancienneté ou du handicap (article L.3141-10).

Salon du «Handicap, emploi & achats responsables »

Le 27 mars prochain se déroulera au Palais des Congrès à Paris, la seconde édition du salon « Handicap, emploi & achats responsables » dont l’Unapei est partenaire. Esat et EA, inscrivez-vous avant le 31 janvier.

Organisé par le Groupe les Echos/le Parisien en partenariat avec LVMH, cet événement propose un lieu unique pour sensibiliser les entreprises aux capacités et à l’emploi des personnes handicapées et créer des échanges avec le secteur protégé. Une cinquantaine de grandes entreprises privées et la plupart des acteurs du travail protégé sont associés à cette occasion.

L’édition 2017, forte du succès rencontré en 2016, propose plus d’espaces afin d’accueillir sur les stands de 120 entreprises adaptées ou Esat, 3 000 visiteurs professionnels d’entreprises (dirigeants, acheteurs, missions RSE ou handicap, ressources humaines…). Outre le développement de relations commerciales, 50 conférences et ateliers de formation sont proposés aux participants.

Bien qu’il y ait plus d’espace, le nombre d’exposants reste encore limité. C’est pourquoi, les organisateurs via un « comité d’identification » sélectionneront les candidatures pour offrir une vitrine complète et cohérente du secteur protégé et informeront les établissement retenus le 15 février. D’ici là, si vous souhaitez soumettre votre candidature, rendez-vous avant le 31 janvier à minuit surwww.salonhandicap.com